Accueil > Innovations > « Je sais FAIRE » : utilisation du numérique au sein d’une pédagogie de projet (...)

« Je sais FAIRE » : utilisation du numérique au sein d’une pédagogie de projet collaboratif et créatif en collège

Exposition "Je sais FAIRE"

À propos du projet

L’exposition « Je sais FAIRE » a eu lieu dans la galerie à vocation pédagogique de l’ESPE de Bretagne du site de Brest.

Elle se situe au cœur même des expériences artistiques et numériques en cours, menées par une artiste plasticienne intervenante Gwenaëlle Magadur auprès d’un public d’Elèves à besoins éducatifs particuliers, du collège de l’Harteloire de Brest.

La particularité de ce projet est de montrer différentes traces d’expériences menées par l’utilisation du numérique au sein d’une pédagogie de projet mettant en avant l’aspect collaboratif et créatif qui peut se jouer quand élèves, artiste-intervenant comme enseignants sont acteurs, expérimentateurs et partent ensemble dans cette aventure.

En quoi ce projet est-il singulier et créatif ?

Ce projet se déroule au sein d’un FABLAB, basé dans les Fabriques du Ponant à Brest en partenariat avec l’Association des Petits Débrouillards.

Il a pour objectif de redonner du sens aux apprentissages et à l’estime de soi tout en permettant et développant chez ces élèves un rôle de médiateur numérique auprès des autres élèves des classes du collège mais aussi de l’ensemble de leurs enseignants.

Quelle est la plus-value sociale du projet ?

Mise en projet des élèves à besoins éducatifs particuliers pour développer la créativité de ces élèves afin d’accroitre le bien-être de chacun. Trouver des projets pour qu’ils réinvestissent les apprentissages en leur donnant du sens. Eviter le décrochage scolaire.

Quel est le potentiel de déploiement de cette initiative ?

Cette initiative a été pensé pour être reproductible par tout les collèges afin de prendre en charge localement ces élèves à besoins éducatifs particuliers.

Quel a été le facteur déclenchant de ce projet ?

Des jeunes élèves IP du collège et du lycée présentant un mal être évident (avec peu de prise en charge dans le cadre des cours ordinaires) en décrochage scolaire et/ou social important (phobies scolaire, déscolarisation, absentéisme, violences).

Quel est le modèle économique de ce projet ?

Ce projet à reçu une subvention "collège et territoire" du CG 29.

Références

Lautrey, J. et al. (2003). L’état de la recherche sur les enfants dits « surdoués », Paris : CNRS, UMR 8605, Université Paris V.

Siaud-Facchin, J. (2008). "Comprendre les difficultés d’apprentissage de l’enfant surdoué : un fonctionnement intellectuel singulier" , in Neuropsychiatrie de l’enfance et de l’adolescence 2004, vol. 52, no 3, pp. 142-147 ISSN 0222-9617, Ed Elsevier. Terrassier, J.-C. (1994)

Les enfants surdoués, ou la précocité embarrassante Paris : ESF. Favre D. (2009) Transformer la violence des élèves : Dunod Jeammet F (2007) La souffrance des Adolescents : La découverte


Envoyer un message

Aucun média